On se pose !
Le trop de réformes peut-il tuer les réformes ? La question mérite d'être posée. Pouce ! Posons-nous, faisons une pause, pas forcément au sens où il faudrait changer de cap comme au moment du Front populaire (la fameuse « pause ») ou en 1983 après l'arrivée de la gauche au pouvoir avec François Mitterrand. Mais au sens où toute réforme ne vaut que par la manière dont elle est déployée, digérée et appropriée par les acteurs, qui se transforment eux-mêmes en la mettant en œuvre.