Le développement de l’apprentissage constitue, depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, l’un des principaux marqueurs de la politique de l’emploi. Le succès à cet égard est incontestable : fin 2022, la France comptait 980 000 apprentis soit plus du double qu’en 2018 ! Cet essor de l’apprentissage en France résulte d’une part de l’aide exceptionnelle accordée par l’État dans le cadre du plan de relance post-Covid (8000 euros d’abord puis 6000 euros depuis 2023 pour tout majeur entrant en apprentissage) et d’autre part de la libéralisation, par la loi pour la « Liberté de choisir son avenir professionnel » de 2018, de la création des centres de formation d’apprentis (CFA) désormais laissée à l’initiative des entreprises sans autorisation juridique de la région.
Cet article repose sur un double postulat, d’une part que la qualité de la formation professionnelle initiale et continue en alternance est tributaire de celle de la fonction tutorale au sein de l’entreprise, et d’autre part que cette fonction constitue le maillon faible du processus de la pédagogie de la formation en alternance, alors même qu’elle connaît un développement quantitatif jamais connu à ce jour en France. De là ce plaidoyer pour mieux reconnaitre la fonction de tuteur qui concerne environ 1,5 million de salariés !
Quelques réflexions d’Emmanuel Couvreur, lecteur assidu et contributeur occasionnel de Metis, sur l’assurance chômage… et pourquoi pas « l’assurance travail ? »
Les films, expériences vécues individuellement, mais en même temps très collectives, font toujours beaucoup discuter. C’est la force de l’image et de la mise en scène. Voici l’analyse tranchée de Denis Maillard, avant un dossier que Metis va ouvrir sur les métiers du « care » et leur place dans la société.
Depuis le 23 mars 2020, Metis et ses lecteurs suivent le « Corona journal » de Victor Castellani. De confinements en déconfinements et au fil d’événements plus ou moins proches, ce sont des réflexions, des observations et des souvenirs, c’est surtout un témoignage de ces drôles d’années qu’il nous a offert, depuis son Panier marseillais. Voici le dernier chapitre.
Victor Castellani revient pour une corona-chronique, l’avant-dernière !
S’il fallait un dernier argument pour justifier l’exigence d’un nouvel acte de décentralisation de l’action publique en lien avec une réforme de l’État, l’abstention massive du vote des 20 et 27 juin 2021 vient de le fournir.
Pour ce 11e épisode nous retrouvons un Victor vacciné mais toujours un tantinet inquiet.
Le 10e épisode du Panier (encore) confiné de Victor Castellani entre attente d’un vaccin et dîner entre copains…
Cette semaine Victor a pris des congés et a quitté le panier. L'occasion de retrouver de vieilles amitiés.
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