Molière et le travail…
Pauvre Molière ! Il n'a guère mérité de se voir qualifier de « clause » : eût-il préféré « loi », « article », « arrêté », « alinéa », « codicille »... Ecrivain superbe, acteur, directeur de troupe, fondateur de plusieurs théâtres, il a beaucoup travaillé, il est même mort en travaillant. Faudra-t-il donc parler français (celui d'aujourd'hui, à défaut de celui de Molière) pour travailler sur un chantier de BTP donnant lieu à appel d'offre public, comme viennent de l'imaginer plusieurs collectivités ?