La Tunisie au printemps 2016
Dimanche matin 3 avril à Tunis. Dans le parc du Belvédère où je fais du jogging, un haut-parleur chante à tue-tête « Marlbourough s'en va t'en guerre » avant de passer à « Sur le pont d'Avignon ». C'est peut être un signe de la combativité et de l'unité du peuple tunisien qui se sont exprimées avec force après l'attaque des djihadistes à Ben Gardane le 6 mars. Daesch voulait diviser les Tunisiens ; c'est raté