ÉDITOS
Changer ?
Changer nos habitudes ? Une fois de plus, nous le faisons en ce moment. Changer nos manières de travailler ? Aussi. Changer tout ? Je n’aime pas trop les concours d’idées et dissertations sur le « monde d’après », tant il me semble que les ingrédients de l’avenir sont pour partie dans le passé. Mais il est vrai que ce présent bousculé, contraint, frustrant, que nous vivons est sans doute riche de beaucoup de possibles.
Merci l’Europe !
C’est décidément une drôle de période que nous traversons. Des restaurants fermés laissant au moment du « grand confinement » cette image des tables et chaises rentrées comme à la hâte derrière des vitres devenues sales. Des restaurants qui rouvrent, avec de nouvelles terrasses conquises sur la rue et les espaces publics : les beaux jours venant ils sont vite blindés et ne désemplissent pas...
Rentrée : le travail masqué et démasqué
Porter le masque partout dans les entreprises et dans le travail quotidien (à quelques subtiles exceptions près). En ces jours de rentrée scolaire, on aura une pensée et une reconnaissance particulière pour les enseignants, à la fois si heureux de retrouver pour de vrai les élèves (pour les étudiants, on ne sait pas encore) et si inquiets quant au quotidien.
Une besace de mots pour l’été
La crise sanitaire a été (et sera) particulièrement riche en inventions linguistiques. Soit que des mots nouveaux apparaissent et se diffusent, soit que des mots plus anciens refont surface et rendent de nouveaux services à la conversation. Quant au vocabulaire spécialisé de la médecine ou de la science, la maladie fait son effet et on a comme le sentiment d’avoir toujours connu l’hydrocholoroquine ou les respirateurs.
L’Europe, l’Etat et nous
On a beaucoup reproché à l’Europe (les institutions européennes) de ne pas avoir géré la pandémie de la même manière dans tous les pays européens. C’est un reproche idiot.
Le travail entre le temps et l’espace
Réflexions déconfinées (et peut-être un peu désordonnées).