Après avoir exploré pour Metis les lieux de co-living et co -working au Mexique, en Argentine et à Berlin, Irène Valdelomar présente Yayem, une jeune entreprise pour travailleurs nomades. Work and play your way est la phrase qui ouvre le site de Yayem, une communauté inspirée à la fois des anciens clubs sociaux anglais et américains, de la tech, du logement éphémère et du travail à distance.
Denis Maillard et Philippe Campinchi, fondateurs du cabinet de conseil en relations sociales Temps Commun, ont lancé www.socialdemain.fr, une initiative collective visant à identifier une nouvelle génération de moins de 35 ans capable de questionner le modèle et les frontières du social. Objectif : offrir à ces « young leaders » du social un programme de développement qui rend le social désirable, bouscule les idées, les pratiques actuelles et invente les nouvelles frontières des relations humaines au travail.
Bernard Jarry-Lacombe et Jean-Marie Bergère ont publié un livre écrit avec François Euvé et Hubert Tardieu Pour Un numérique au service du bien commun. Ils répondent aux questions de Danielle Kaisergruber.
Connaissez-vous les concepts de « Worcation » ? « Coliving » ? « Coworking » ? Coconat, un espace au vert en banlieue Berlin, propose les trois depuis 2017 ! Irene Valdelomar a rencontré Julianne Becker, l’une des fondatrices. Elle nous parle de ce projet mêlant communauté, concentration et nature (Co – co – nat !)
Quelle stratégie syndicale suivre face à l’introduction des nouvelles technologies numériques dans les activités économiques ? La séance du 16 juin dernier du séminaire international de l’IRES avait pour objectif d’avancer des éléments de réponse à partir de l’exemple allemand. Gerard Bosch, (professeur de socio-économie du travail à l’Université Duisbourg-Essen) y exposait les enseignements qui pouvaient être tirés de l’évaluation de l’approche syndicale expérimentale face à la digitalisation de l’industrie — aussi nommé « Industrie 4.0 » .
Irène Valdelomar-Zurera explore en ce moment les lieux de co-living et co-working dans différents pays. Nouvelles manières de travailler ou nouvelles figures du tourisme ? En commençant par le Mexique.
Le « travail hybride » devient la nouvelle norme. 8 salariés sur 10 disent vouloir travailler de un à trois jours par semaine depuis leur domicile et 38% seraient prêts à démissionner si on leur imposait un retour total sur site. Ce sont les résultats d’un tout récent sondage Opinion Way cité en introduction du numéro 2 de Repères, nouvelle publication de la Chaire Mines Paristech « Futurs de l’industrie et du travail ». (12 pages)
« Les nouveaux modes de travail et de management » : c’est le titre de la table ronde organisée par la Délégation aux entreprises du Sénat le 28 janvier 2021. Elle a réuni François Dupuy, sociologue, expert en résidence à l’École des hautes études commerciales du Nord (EDHEC) ; Jean-Emmanuel Ray, professeur à l’École de Droit de Paris I — Sorbonne, spécialiste en droit du travail et Martin Richer, fondateur et dirigeant de Management & RSE, membre du Comité de rédaction de Metis.
À l’issue du 7e Printemps de la prospective, nous nous étions promis de nous retrouver sans que personne n’ait imaginé que la 8e édition se ferait à distance grâce à l’application Zoom, dont nous ignorions même l’existence. La prospective ne prétend pas écrire l’histoire à l’avance et les tendances émergentes qu’elle s’attache à détecter peuvent faire bon ménage avec l’imprévu et les aléas !
En quelques années, Laetitia Vitaud, chercheuse et rédactrice en chef du magazine de Welcome to the Jungle dédié aux entreprises, s’est fait un nom dans les réflexions sur le futur du travail : rapports, livres blancs, articles, notes de blog. Ses prises de parole sont multiples et généralement saluées ; c’est dire si son dernier livre, Du Labeur à l’ouvrage, l’artisanat est l’avenir du travail (Calmann Levy), était attendu.
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