Le virus, les salaires, la dette, et après ?
La presse, les réseaux, les esprits et les conversations (à distance, comme il se doit) sont à ce point saturés de témoignages, expériences, journaux intimes, analyses savantes, conjectures hasardeuses et recommandations péremptoires quant aux bouleversements charriés avec lui par ce satané virus, qu’on finit par se dire qu’il devient urgent de parler d’autre chose. Ce à quoi s’essaie à sa façon Metis au long de ces semaines confinées, en le prenant comme un cas d’école, une sorte de prétexte à poursuivre la réflexion sur l’avenir des rapports sociaux de travail.