Vie au travail2019-05-03T11:51:35+02:00

VIE AU TRAVAIL

La vie ordinaire d’une stagiaire, rapport d’étonnement

Je connais Marie depuis sa naissance. C’est une jeune fille de 21 ans, pleine de vie et de dynamisme. Voici ce qu’elle me rapporte des premiers pas qu’elle vient d’effectuer dans une entreprise où elle effectue son stage de fin de Master 1.

Par |2 août 2020|Catégories : Portraits, Vie au travail|Mots-clés : , , , , , , |

Quand des ingénieurs BTP télétravaillent

Ceux qui analysent le travail savent que c’est dans le concret et les moindres détails que se logent ses particularités. Le travail à distance à temps plein et dans la situation particulière de confinement est un puissant révélateur des petites différences du quotidien et des marges de manœuvre de chacun. Les témoignages de deux ingénieurs du même secteur le montrent.

Chronique de l’enseignement confiné

Continuité pédagogique : facile à dire ! Un outil centralisé d’enseignement à distance qui tarde à fonctionner et patine, des élèves qui proposent leurs bons outils de gamers, des relations à distance d’une grande proximité ? Un investissement à tout crin pour que ça marche… Elisabeth V, professeur de français dans un lycée parisien raconte avec humour l’aventure de ces deux mois de « télé-enseignement ».

Entrée en confinement et en continuité pédagogique numérique dans un lycée parisien

L’entrée en confinement des établissements scolaires à partir du lundi 16 mars 2020 a été annoncée le jeudi 12 mars. Brigitte Abad Vega est proviseure adjointe du lycée Charlemagne à Paris. Elle apporte le témoignage de cette conversion soudaine au numérique et au télé-enseignement.

Quand la question des retraites renvoie à la question du travail !

Emmanuel Couvreur travaille avec le FGM-CFDT sur la qualité de la vie au travail. Il livre à Metis ses réflexions autour de la question des retraites.

La charge de travail administrative va-t-elle faire craquer les enseignants-chercheurs ? (Partie 2)

Longtemps, les enseignants-chercheurs ont pu se prévaloir d’un contrôle sur leur travail assez enviable. Certes, ils s’estimaient moins bien rémunérés que les cadres d’entreprises, mais ils n’avaient pas le fil à la patte comme eux. S’ils continuent aujourd’hui d’échapper à l’agenda partagé qui est le lot de ces derniers, la vague les a atteints sur bien d’autres plans : un certain sentiment de perte de sens du travail, l’impression de ne pas parvenir à se consacrer à ce qu’ils ou elles valorisent le plus dans leur métier, une montée des formalismes, une course permanente contre le temps et les urgences. Le tout est résumé par leur dénonciation de la charge administrative. Un groupe de travail de l’université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM) — désormais intégrée dans l’université Gustave Eiffel — s’est attaché récemment à préciser les constats et à réfléchir à ce qu’il était possible d’entreprendre, à l’échelle d’un établissement, pour améliorer les conditions de travail des universitaires.