Après une première partie consacrée aux questions du chômage et de la pauvreté, nous publions ici la seconde partie de l'article de Ricardo Rodriguez consacré aux effets de la crise en Espagne et aux perspectives qui s'offrent désormais à ses citoyens, jeunes et moins jeunes
Metis, correspondances européennes du travail s'est construit sur l'idée que l'ouverture à ce que font et pensent les autres - sous-entendu les non Français, en Europe et au-delà - était fondamentale pour comprendre les mutations du travail, de l'emploi voire de la « question sociale ». Cette approche est celle qui nous réunit et qui fait sans doute la singularité de notre site et de son regard. Le « renversement du monde », que la crise n'a fait que souligner et accélérer, est tout sauf étranger aux turbulences de nos modèles sociaux. Jamais il n'a été autant nécessaire de voir et comprendre pour agir. Autant dire que l'heure est au dépassement des craintes et des replis de tout poil
Les gouvernements successifs de Lula ont rémédié en partie à la pauvreté et la faim, grâce à des aides directes, une hausse du salaire minimum et une régulation du travail informel et esclave. Mais ces politiques sociales n'ont pas agi sur les causes structurelles de la pauvreté, preuve de l'ambiguité des années Lula
Une lame de fond agite le Brésil politique. Dans ce pays présidentiel dont la devise ambitieuse est "Ordem e progresso", le système électoral ne dégage pas de majorité forte, ce qui oblige les élus à lier des alliances. Certains députés et une grande partie de la société civile réclament une réforme du système politique actuel qui favorise la corruption
Le 23 juillet dernier, au beau milieu des vacances et un an et demi après l'adhésion de la Bulgarie à l'Union européenne, la Commission adressait au gouvernement un rapport extrêmement critique sur les manquements bulgares
Les Bulgares esquissent un bilan neuf mois après leur adhésion à L’Union européenne : apprentissage douloureux.
Nine months after their accession to EU, Bulgarians are going through a painful learning.
Entretien avec Ovidiu Popescu, vice président de la fédération chimie et pétrochimie du syndicat Cartel Alfa, première organisation syndicale roumaine, sur les processus de restructuration.
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