Le droit de grève en Europe
Comment a évolué l'exercice du droit de grève en Europe depuis la crise ? Metis vous propose dans cette infographie quelques conclusions tirées des études de l'ETUI et de la Dares.
Comment a évolué l'exercice du droit de grève en Europe depuis la crise ? Metis vous propose dans cette infographie quelques conclusions tirées des études de l'ETUI et de la Dares.
Beaucoup de progressistes à travers le monde voient dans le virage à gauche de l'Amérique Latine un modèle viable de « socialisme du 21ème siècle ». Toutefois, cette vague rose soulève de nombreuses questions, notamment en ce qui concerne le respect de droits indigènes tels que l'accès aux ressources et à la terre
La jeunesse espagnole bouge et s'inspire à la fois de l'«Indignez-vous » de Stéphane Hessel et des révolutions du printemps arabe. Qu'y a-t-il de commun entre les jeunes Tunisiens ou Egyptiens qui n'ont connu que des régimes autoritaires et les jeunes Espagnols qui profitent de la démocratie ?
Ils permettent aux salariés d'avoir accès à l'information sur les décisions stratégiques de leur entreprise. Selon l'Institut syndical européen, 953 comités d'entreprise européens étaient actifs en 2010, couvrant 17,3 millions de salariés. Irlandaise d'origine, Maureen Kearney est secrétaire du bureau du CE européen d'Areva depuis 7 ans. Allemand, Georg Leutert est secrétaire du bureau du CE européen de Ford Europe depuis 12 ans. Interview croisée
par Christophe TeissierY. Lochard, J-M. Pernot dans la Chronique Internationale de l'IRES, n°127 (nov [...]
par Christophe TeissierN Farvaque, M. Lefebvre, Les salariés de PME : d'une spécificit [...]
Des slogans aux accents historiques tels que « Nous sommes le peuple » (Wir sind das Volk! en écho aux manifestations de Leipzig de 1989) ou pragmatiques « Cherchez-vous d'autres électeurs » (Sucht euch ein anderes Volk!) animaient depuis plusieurs mois une contestation exceptionnelle autour du chantier de la gare de Stuttgart et une mobilisation plus récente contre le nucléaire. Le 27 mars dernier, les urnes ont rendu leur verdict
Nous n'aimons pas les conflits. Je ne parle pas des simulacres, des postures et des rituels avantageusement mis en scène, des excommunications pour la galerie, mais des vrais conflits, ceux dont l'issue est aussi incertaine que vitale pour ceux qui s'y engagent. L'indignation est réputée vertueuse. Le conflit est réputé détestable.
Le droit de cité au conflit est le meilleur critère d'appréciation de la santé d'une société, qu'il s'applique au travail proprement dit ou au travail citoyen. On notera au passage que ces deux natures de conflit sont indissociables l'une de l'autre si l'on veut comprendre ce qui les meut, les modalités qu'elles prennent et le degré de combativité dont elles informent. Le conflit, quel qu'il soit, est toujours le fruit d'une bataille de valeurs dans la Société. À cet égard, vient d'apparaître un bouleversement vraisemblablement historique, initié en septembre 2008 avec la crise du capitalisme ultralibéral et consommé avec ce qu'il vient d'advenir au Japon
Alors que le Sénat examine le projet de loi sur la réforme des retraites, le mouvement social se durcit. Le projet de loi devrait être soumis à un vote bloqué ce vendredi 22 octobre avant de revenir devant le Parlement pour un vote définitif. Un amendement voté dans la nuit de mercredi à jeudi, propose de réouvrir la réforme, cette fois systémique en 2013... Quelle vision à long terme ! Retour sur deux points souvent biaisés du débat : l'âge et le financement du système