Quand la question des retraites renvoie à la question du travail !
Emmanuel Couvreur travaille avec le FGM-CFDT sur la qualité de la vie au travail. Il livre à Metis ses réflexions autour de la question des retraites.
Emmanuel Couvreur travaille avec le FGM-CFDT sur la qualité de la vie au travail. Il livre à Metis ses réflexions autour de la question des retraites.
La retraite « à points » ne rassure décidément pas. Et pourtant, l’Agirc-Arrco, retraite complémentaire obligatoire pour tous les salariés du privé, est une retraite à points depuis sa création. Elle est gérée par les partenaires sociaux et représente près de 50 % de la retraite des cadres et près de 30 % celle des salariés non cadres.
La réforme des retraites est à l'agenda 2019. L'objectif est la création d'un régime universel où chaque euro cotisé au même taux rapporterait à chacun les mêmes droits. Les premiers éléments présentés aux partenaires sociaux permettent d'ores et déjà de dresser les contours du futur régime, même si des questions cruciales demeurent encore sans réponse.
Jean-Louis Dayan analyse pour Metis la place des seniors dans le marché du travail en France. Grace à eux, les taux d'activité remontent. Mais à quel prix ? La transition emploi-retraite reste pour beaucoup peu sécurisée.
En ce milieu d'Automne, autour d'une bière fraîche, j'ai rencontré Odile Plan, présidente de l'association Or gris et coordinatrice du numéro 233 de la revue Pour du GREP (Groupe Ruralité, éducation et politique) « Vieillir actifs à la campagne ». J'ai compris que les vieux ne sont pas seulement bons à entretenir le potager ou à tricoter des bonnets.
La vie est ponctuée d'épreuves scolaires, administratives, professionnelles, qui contribuent à l'identité de soi et laissent leur marque dans la biographie objective et subjective de chacun. Le passage à la retraite est l'une d'elles, assez peu réfléchie comme telle, tant l'opposition binaire entre les deux états d'actif et de retraité occupe le terrain et masque les enjeux du passage, destin pourtant commun. Ce sont là quelques réflexions parcellaires issues de l'expérience personnelle : elles n'ont pas vocation à se substituer à une réflexion plus systémique.
En ce milieu d'Automne, autour d'une bière fraîche, j'ai rencontré Odile Plan, présidente de l'association Or gris et coordinatrice du numéro 233 de la revue Pour du GREP (Groupe Ruralité, éducation et politique) « Vieillir actifs à la campagne ». J'ai compris que les vieux ne sont pas seulement bons à entretenir le potager ou à tricoter des bonnets.
Nicola Düll (membre du Comité de rédaction de Metis), Tim Vetter et Lara Dunst (Economix Research & Consulting, Munich) ont eu récemment l'occasion de faire un bilan quantitatif et qualitatif des « mini jobs » en Allemagne. En voici un résumé :
La puissante silhouette de François Chérèque n'arpente plus les couloirs du boulevard de La Villette ni ceux de l'Inspection générale des affaires sociales où il avait entrepris avec enthousiasme d'exercer un nouveau métier. C'était un homme BIEN. Je ne vois pas de mot plus simple, plus vrai pour le définir
Cette année, en France, l'universel a le vent en poupe. Et pas de manière habituelle dans le genre rappel des grands principes et des idéaux historiques de la Révolution française mais bien plutôt comme concept opérationnel pour penser un certain nombre de grandes réformes économiques et sociales. Le revenu universel : dès l'été 2016, Metis y a consacré un dossier, publié depuis sous forme de brochure papier (lien) et organise sur ce sujet une journée d'étude avec la Fonda au Sénat le 6 avril prochain (lien). « Une année de formation universelle », idée proposée par des associations et think tanks