Entre l’école et l’entreprise : des initiatives

Pour favoriser cette transition entre l'école et l'emploi un peu stable qui est loin d'être simple, et dont la durée s'est allongée, de nombreuses initiatives, d'origine politique, ou privée, ou associative, essaient de marier la formation et le travail, l'engagement et les projets :

Petits boulots : comment j’ai traversé la rue…

On le sait depuis que le Président de la République a dit qu'il suffisait de traverser la rue : quoi de plus simple que de trouver un petit travail à Paris ? Surtout quand on est une fille... À travers ce récit qui détaille une bonne partie de ma vie ces trois dernières années - j'ai 22 ans - je parlerai de mes expériences professionnelles, les bonnes comme les mauvaises.

Par |2019-05-29T18:43:40+02:007 octobre 2018|Mots-clés : , , , , , , , , , |

Jeunes : « Lost in transition »

En travaillant sur ce dossier « Être jeune en 2018 », nous nous sommes tout à coup interrogés sur les parcours des jeunes autour de nous, les copains des uns, les enfants des autres. Voici quelques-uns des petits récits écrits dans la foulée de cette interrogation. Deux choses sont certaines. 1) Les parcours ne sont plus linéaires, organisés par des séquences prévisibles études/entrée dans la vie active/professionnalisation. 2) Donner aux jeunes au travers des « petits boulots » (d'étudiants ou non) une vision aussi indigne du travail est une horreur...

Par |2019-05-29T18:43:14+02:007 octobre 2018|Mots-clés : , , , , , , , , |

Petits boulots : comment j’ai traversé la rue…

On le sait depuis que le Président de la République a dit qu'il suffisait de traverser la rue : quoi de plus simple que de trouver un petit travail à Paris ? Surtout quand on est une fille... À travers ce récit qui détaille une bonne partie de ma vie ces trois dernières années - j'ai 22 ans - je parlerai de mes expériences professionnelles, les bonnes comme les mauvaises.

Par |2019-05-02T13:31:12+02:007 octobre 2018|Mots-clés : , , , , , , , , , |

Mai 68, et après

(Extraits de mon Journal, écrit en 2004)« Premiers jours de mai : à la Sorbonne, dans l'amphithéâtre Descartes et ses hauts gradins, je me sentais loin. J'avais été à quelques manifestations, mais plutôt sur les marges, comme hésitante à me fondre dans la foule. Pourquoi ? En y réfléchissant aujourd'hui, je ne sais pas. Peut-être les élèves, des filles uniquement, de la Khâgne de Jules Ferry, n'étaient-elles pas très faciles à mobiliser. Celles avec qui j'avais participé aux "Comités Vietnam de base" étaient communistes donc assez méfiantes quant à cette drôle de révolte estudiantine vite qualifiée de "petite-bourgeoise". C'est venu après.(...)

Comment nos voisins européens orientent et sélectionnent les futurs étudiants à l’université

En France, le baccalauréat est le premier diplôme de l'enseignement supérieur. Ce sésame pour l'université et un rite de passage qui marque la fin des études secondaires. Cette année, 641 700 nouveaux bacheliers ont obtenu ce précieux viatique. Dans le système actuel, tout bachelier, quel que soit son bac et sa série (général, technologique, professionnel, scientifique, économique, littéraire...), peut en principe demander à accéder de droit à n'importe quelle licence ou aux études de santé à l'Université publique. Comment fait-on dans les autres pays européens ? Frédéric Dardel, Président de l'Université Paris Descartes, fait le point dans un article publié par le site The Conversation le 19 juillet 2017.

Et si nous arrêtions de nous moquer des MOOC ?

Les acteurs de l'éducation et de la formation en France ont tendance à regarder les MOOC (formations en ligne accessibles à tous) comme une innovation de portée limitée. Les entreprises françaises, qui accusent déjà un retard prononcé dans l'appropriation de cette technologie, risquent de ne pas saisir l'opportunité d'élargir l'accès à la formation professionnelle à ceux qui en ont le plus besoin. Je propose cinq axes de progrès pour renverser la donne.

Mobilisations étudiantes au Québec : vers un printemps « érable » ?

Moins affecté que l'Europe par la crise, le Québec n'échappe pas pour autant à la vague d'austérité qui balaye les économies développées. Sur fond de scandales à répétition, le gouvernement libéral de Jean Charest impose la rigueur depuis 2009. En première ligne de la contestation, les étudiants dénoncent notamment l'augmentation de 75% des frais d'inscription universitaire

Par |2018-12-17T10:14:53+01:003 avril 2012|Mots-clés : , , , , , , |