Jeunesse en France, que du bonheur ?

Parce qu'en quelques mois ils n'ont sans doute pas beaucoup changé leur définition du bonheur, Metis vous invite à lire de nouveau ce papier qui raconte les résultats d'une enquête adressée aux jeunes.Lundi 8 décembre c'était « le Grand oral du bonheur » aux Grands Voisins, à Paris. Y était réunie une bonne centaine de jeunes (par jeunes, entendez 18-35 ans). Chacun avait, comme plus de 50 000 de leurs pairs, répondu entre septembre et octobre 2016 à une enquête en ligne d'un genre nouveau : « Que du bonheur - l'enquête qui te donne la parole ». L'idée de l'association Génération Cobayes et de son partenaire Domplus était de sonder cette génération, connaître ses aspirations et sa définition du bonheur et ainsi ouvrir le dialogue avec les décideurs politiques, bien souvent dans l'incapacité de la comprendre.

Les X et les Y : générations perdues pour le travail ?

L'hystérie des différences générationnelles continue à sévir dans les entreprises. On nous présente les générations nouvelles sous des noms exotiques, la « génération Y » ou la Z, qui prend sa suite, les « digital natives », ou autres « millennials », en prétendant que ces jeunes sont fondamentalement différents de leurs aînés dans leur rapport au travail et à l'entreprise. C'est une profonde erreur, comme le montrent les 9 affirmations suivantes, issues des travaux des chercheurs et d'enquêtes récentes.

Par |2019-12-20T15:04:41+01:0011 septembre 2018|Mots-clés : , , , , , , , , , |

Quand les startups réinventent les relations de travail – retour sur une matinée au NUMA

Le 22 juin à 8h30 nous nous rendons au Numa. Ça flairait bon le café et les esprits en ébullition. Il faut dire que le Numa c'était une association, aujourd'hui une entreprise, une couveuse qui aide notamment les startups à se développer, mais c'est aussi un explorateur. Un explorateur du travail même. Dans le cadre de son cycle d'événements répondant au thème ambitieux Reinvent Work le Numa s'est associé au Lab Astrees pour se pencher sur le mythe (ou la réalité ?) de la réinvention des relations de travail par les Startups. Quels en sont les enjeux et les leviers ? Quelles pratiques émergent quand d'autres disparaissent ? Tout un programme

Les rencontres de l’engagement professionnel des jeunes – jeudi 11 mai

Médias et politiques ne cessent de parler de l'emploi des jeunes tandis que les poncifs sur les générations Y ou Z se multiplient. ASTREES, elle, à travers le projet "Dessine-moi le travail" prend les choses par un autre bout : elle questionne les jeunes de 15 à 30 ans dans leur diversité - étudiants, apprentis, salariés, chômeurs - sur le travail, l'entreprise et leurs possibles engagements professionnels et sociaux.

Par |2018-12-17T10:18:04+01:0026 avril 2017|Mots-clés : , , , , , |

Unions 2.0 : Le syndicalisme à l’ère du numérique (suite)

Quel syndicalisme à l'ère du numérique ? Martin Richer livre pour Metis ses analyses. Dans son premier article, il montrait que les syndicats étaient absents de la Toile, et affirmait qu'il leur serait salutaire de s'adapter aux formes de protestation qui mutent. Aujourd'hui, il revient sur la génération dite Y, le syndicalisme de service, et la transformation des syndicats.

Unions 2.0 : le syndicalisme à l’ère du numérique

Face à l'affaiblissement aigu de l'action des organisations syndicales en France, la diffusion des technologies numériques peut se présenter comme une précieuse opportunité. Bien que le syndicalisme 2.0 puisse être porteur de renouveau, nombreuses sont aussi les menaces qu'il fait planer sur son évolution. A cette dualité de scénarios possibles sont associées des pistes d'actions et de réflexion, qui décideront de la renaissance ou du déclin du syndicalisme en France. Martin Richer livre pour Metis son analyse du syndicalisme à l'ère numérique. Dans un premier temps, il démontre en quoi les syndicats sont absents de la toile, là où pourtant se joue leur avenir, et affirme qu'il leur serait salutaire de s'adapter aux formes de protestation qui mutent. Retrouvez la suite de l'analyse de Martin Richer dans votre newsletter du 16 Juin 2015.

Travail : ce que veut la génération des baby losers

François Hollande avait en France placé son quinquennat sous le signe d'un nouveau contrat avec la jeunesse. Où en est-on ? Faut-il à l'instar des classes politiques française et européennes être obnubilé par l'emploi des jeunes ? Oui mais..non ! Car continuer à dire « Emploi, emploi, emploi » conduit d'une part à des politiques coûteuses et à des résultats peu probants. Et empêche d'autre part de s'interroger sur la manière dont les générations montantes conçoivent leurs rapports au travail. Comment le voient-elles ? Comment font-elles ? De quels nouveaux modèles rêvent-elles ? Que faudrait changer pour leur permettre demain une insertion professionnelle et sociale réussie ? Tentons ici de résumer la manière dont elles voient les choses.

Le bonheur au travail : on l’attend, et on en souffre

Le bonheur au travail ? Les Européens n'en parlent pas explicitement dans les enquêtes dont ils font l'objet. Question taboue ou simplement inappropriée ? Voici ce qu'en disent dans un entretien exclusif pour Metis, Dominique Méda, professeur en sociologie à l'Université Paris-Dauphine, et Patricia Vendramin, sociologue et codirectrice du Centre de recherche Travail & Technologies de la Fondation Travail-Université à Namur.

Numérique : la génération Y, nouvelle chienlit ?

D'où vient la défiance des chefs d'entreprise, des managers vis-à-vis des jeunes générations ? Cette fantasmatique génération Y, - et ce sera pire avec la génération Z dit-on, marquerait-elle une nouvelle « chienlit » pour les entreprises ? Le constat semble, en tout cas, celui d'une incompréhension, d'une difficulté à intégrer les jeunes générations, à les impliquer, à les faire adhérer à la culture de l'entreprise, à comprendre leur mode de fonctionnement.

Par |2018-12-17T10:15:42+01:0011 juin 2013|Mots-clés : , , , , , , , , , |